Je regarde je sens je devine Quand elle passe à ma portée En robe de sentiment suprême Elle court les océans déchaînés Tapis d’algue instable percuté de coquilles Un souffle sur elle un œil Je marche et malgré moi me retourne Là elle est encore et encore Engouffrée dans les silhouettes Caramba ! Ses cils respirent le mescal Et son sein le suc du pavot Roulez, trains voitures avions Votre bruit ne vaut rien Quand elle claque du talon Couché je regarde je devine je sens Le piège olfactif des vagues de perles Elle vient dépouillée magnanime Brumeuse et splendide 20 janvier 2022
Pas mal du tout, Cherolivier!
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